Chapitre précédent - Lancement de l'animation
Nous reprenons ici le détail des différentes séquences de l'animation accompagnées de commentaires.
Séquence 0:20-0:27
Diminution suivie par deux agrandissements linéaires (vitesse constante) de la taille d’une bande verticale noire sur fond blanc.
Séquence 0:27-0:33
Deux diminutions linéaires du côté d’un carré blanc sur fond noir.
Séquence 0:33-0:41
Diminution suivie par trois agrandissements linéaires de la taille d’une bande horizontale noire sur fond blanc.
Remarque : Cette séquence est une réexposition de la première séquence (0:20-0:27) avec variation : la bande noire est maintenant horizontale, l’agrandissement a lieu trois fois.
Séquence 0:41-0:44
Diminution linéaire de la taille de deux rectangles blancs sur fond noir (termine sur du noir).
Séquence 0:44-0:49
Augmentation linéaire de la taille d’une bande verticale blanche sur fond noir, puis noire sur fond blanc.
Séquence 0:49-0:54
Variations linéaires de la taille de plusieurs rectangles blancs sur fond noir.
Séquence 0:54-0:57
Diminution linéaire de la taille d’un rectangle noir sur fond blanc.
Séquence 0:57-1:06
Variations linéaires de la taille de plusieurs formes blanches (rectangles et carrés) sur fond noir.
Séquence 1:06-1:15
Succession alternée de deux carrés blancs (un grand et un plus petit) sur fond noir, à quatre reprises (le quatrième est incomplet).
Remarque : Pour la quatrième période du Qui veut démarrer, la seconde phase est manquante. On observe un effet de tuilage avec la Trajectoire inexorable de la séquence suivante. L'attente du carré blanc de la phase manquante est comblée par la présence du carré gris, ce qui crée cohérence et continuité.
Séquence 1:15-1:27
Variations linéaires de la taille de plusieurs rectangles blancs ou gris sur fond noir, associés à des carrés gris ou blancs de taille fixe.
Remarque : L’analyse en MTP de cette séquence dévoile une symétrie qui n’apparaissait pas de façon immédiate (forme en arche).
Séquence 1:27-1:36
Variations de tailles et de positions de plusieurs formes (blanches, grises) sur fond noir, qui se succèdent de façon incohérente.
Séquence 1:36-1:43
Variation de taille en delta de deux rectangles blancs sur fond noir.
Remarque : Les deux rectangles blancs ont une pulsation en opposition de phase. Une troisième forme (carré gris) ne participe pas au mouvement (statique).
Séquence 1:43-1:52
Variations de tailles et de positions de plusieurs formes (blanches, grises) sur fond noir, qui se succèdent de façon incohérente.
Séquence 1:52-2:03
Variations linéaires de la taille d’un carré blanc, puis d’un rectangle blanc, sur fond noir.
Séquence 2:03-2:11
Variations de tailles et de positions de plusieurs formes (blanches, grises) sur fond noir, qui se succèdent de façon incohérente.
Séquence 2:11-2:17
Variation de taille en delta de deux rectangles blancs sur fond noir.
Remarque : Comme précédemment, les deux rectangles blancs ont une pulsation en opposition de phase et une troisième forme (carré gris) ne participe pas au mouvement.
Séquence 2:17-2:39
Augmentation soudaine de la taille de deux rectangles blancs sur fonds noirs, associés à formes de taille constante (carrés ou rectangles gris) ou en variation linéaire (carré gris central).
Remarque : La phase d'appui de l'UST Elan (ordinairement nécessaire) est ici supprimée : c'est le mouvement du Par vagues de la séquence précédente qui sert d'appui. Tout se fait dans une continuité de mouvements.
Séquence 2:39-2:45
Succession alternée de deux carrés blancs (un grand et un plus petit) sur fond noir, à trois reprises.
Remarque : Cette séquence est une reprise avec variation d’une séquence précédente (1:06-1:15). Mais ici, nous avons trois périodes complètes de Qui veut démarrer.
Séquence 2:45-2:48
Variation linéaire de luminosité d’un carré blanc sur fond noir qui devient noir sur fond blanc.
Remarque : A partir de cette séquence, nous avons une inversion de la luminosité entre le fond et les formes : nous avions des formes blanches ou grises sur fond noir et nous avons maintenant des formes noires ou grises sur fond blanc. Il est intéressant de concevoir ce changement de rapport fond/forme comme une modulation musicale (même « mélodie » graphique, mais présentée dans une autre « tonalité »).
Séquence 2:48-2:50
Diminution linéaire de la taille d’un rectangle noir sur fond blanc.
Séquence 2:50-2:55
Variation de taille en delta de deux rectangles noirs sur fond blanc.
Remarque : On a la même construction que dans les deux Par vagues précédents, mais avec l’inversion de couleur fond/forme mentionnée : les deux rectangles noirs ont une pulsation en opposition de phase et une troisième forme (carré noir) ne participe pas au mouvement.
Séquence 2:55-3:00
Variations de taille et de position d’un carré noir sur fond blanc.
Remarque : C’est la première fois qu’un déplacement de forme est clairement mis en valeur (précédemment, les déplacements de formes étaient combinés de façon complexe dans des UST Sans direction par divergence d’information).
Séquence 3:00-3:04
Diminution suivie par un agrandissement linéaire de la taille d’une bande verticale noire sur fond blanc.
Remarque : Cette séquence est une seconde variation de la séquence introductive (0:20-0:27). L’occupation de tout l’espace par la bande noire permet de réintroduire le fond noir dans les séquences suivantes (on « module » de nouveau).
Séquence 3:04-3:10
Variations linéaires de la taille de plusieurs rectangles blancs et gris sur fond noir.
Remarque : Du fait de la petite taille des rectangles, leur agrandissement est perçu davantage comme un mouvement de type déplacement, plutôt que comme un changement de surface qui induirait une variation de luminosité. C’est pourquoi, pour cette séquence, nous avons affecté les variations de longueur à la variable F et non à I.
Séquence 3:10-3:12
Diminution de la luminosité de deux rectangles (gris, puis blanc) sur fond noir (termine sur du noir).
Séquence 3:12-3:16
Variations de tailles et de positions de plusieurs formes (blanches, grises) sur fond noir, dans une organisation multicouche complexe.
Remarque : La complexité des superpositions de formes conduit à une densification de l’image qui s’apparente à un stretto.
Séquence 3:16-3:18
Image fixe d’un carré noir sur fond blanc.
Séquence 3:18-3:22
Deux diminutions linéaires du coté d’un carré noir sur fond blanc.
Remarque : On retrouve l’animation de la seconde séquence (0:27-0:33), mais avec, pour finir, une dernière inversion de couleur fond/forme.
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