L’article aborde un des problèmes pratiques que se posent les musiciens amateurs qui souhaitent improviser en groupe et se produire à l’occasion de concerts participatifs : celui de l’écriture préalable de canevas minimaux fixant la superstructure des pièces improvisées, robustes à des reconfigurations spontanées du groupe, permettant de réduire le temps de préparation sans compliquer la scénographie. L’auteur raconte une telle expérience et en tire une série de conséquences, pour certaines inattendues.
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This paper addresses a problem that may concern musical group aiming at preparing interactive concerts: how to design minimal templates that help to prepare the concerts without making the infrastructure heavier to manage. The author tells us such a story, and tries to draw consequences, sometimes unexpected.