Ici, je regarde les verticalités. C’est une sorte de descente aux enfers. Cela part par vagues. Les vagues descendent chaque fois et sont arrêtées par des points : le saxophone joue trois notes et la quatrième est arrêtée par un pizz de violoncelle ; puis deux notes, et la troisième est arrêtée ; encore une note et la seconde arrêtée ; six notes, la septième arrêtée. (Ent1)