(…) et puis ici c’est clair : deux, un, et ici, le violon [lit son annotation au-dessus de la mes. 146] : « ne pas corriger – symétrie faussée ». [Chante :] LaaSool/ C’est un duo entre le violon et le violoncelle ; tout est à l’unisson sauf ici – non, pas à l’unisson mais en double octave, pardon. [Chante :] Sii Doo. Et là [mes. 146], c’est un Ré-bas : il y a un écart de 3/4 de ton avec le Do au violoncelle.
Et : SiDoRééé ; non [rectifie l’intonation] : Do Réé. Ce sont ces deux notes qui sont ensemble. Puis : Sool, double octave de nouveau. Au départ, je pensais que c’était une erreur ! En fait, non. J’en ai parlé avec Jean-Luc Hervé qui a travaillé beaucoup avec Gérard et il m’a dit : non, je ne crois vraiment pas que ce soit un hasard ; c’est vraiment une tension. [Au lieu de la gommer en rétablissant le strict parallélisme des deux voix], je pense qu’il faut la porter, au contraire. (Ent1)